Réponse à un commis autoproclamé d’un Houellebecq désemparé

, Réponse à un commis autoproclamé d’un Houellebecq désemparé

Vous vous cantonnez dans l’anonymat. C’est de derrière le voile de la couardise que me vient votre voix. Et c’est vous, la tête enfouie dans le sable et les fesses en l’air qui osez me lancer : « Courage Mohammed Zeliche ». Voire me narguer


, Réponse à un commis autoproclamé d’un Houellebecq désemparé

REPONSE A UN COMMIS AUTOPROCLAMÉ

D’UN HOUELLEBECQ DÉSEMPARÉ 

(on trouvera la critique en question à la suite de notre texte)

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« N’est pas Zola ni Balzac qui veut ! ». Ainsi me reprenez-vous, Areole. Non pour ce que vaut la formule mais pour me dire que je suis amer de n’avoir pas accompli d’œuvre qui égalait celle du sieur Houellebecq. Comme si on devait se comparer les uns aux autres, se ressembler et avoir suivi le même parcours. Et comme si celui que vous défendez avait quelque talent pour être l’homme d’une œuvre. Quelle méprise que la vôtre !

Auriez-vous l’impudence de comparer votre auteur à Balzac ou Zola ?

Au fait parlez-vous en tant que Houellebecq ou en tant que commis autoproclamé de votre maître à penser. Votre rôle ici est à préciser. Votre identité aussi. Pour mériter qu’on vous réponde. mais vous êtes allé loin et une réponse à la mesure de votre insolence s’impose.

En effet vous vous cantonnez dans l’anonymat. C’est de derrière le voile de la couardise que me vient le son votre voix. Et c’est vous, la tête enfouie dans le sable et les fesses en l’air qui osez me lancer : « Courage Mohammed Zeliche ».Voire me narguer. paradoxal mer cher.

Que cachez-vous en fait ? Un être moche et méchant. Un être sans mérite. Un identitaire complexé. Quelqu’un qui lance jsa pierre et se replie aussitôt dans les jupes de sa mère. Elle est où l’œuvre, la vôtre, particulièrement, que vous me reprochez de n’avoir pas produite ?

Tiens donc ! Qui se ressemblent s’assemblent. Vous défendant Houellebecq c’est le loup qui veille sur le troupeau.

Mon œuvre numériquement moindre incarne un travail sérieux de réflexion pluridimensionnelle. Mes ouvrages ont plus mérité que celles de votre idole. Ils sont destinés à des universitaires et non à de paresseux lecteurs en manque de rêves et de flous, qui s’ennuient dans leur train sifflant et ronronnant dans les campagnes.

Les miens de livres on ne les écrit pas pour les vendre comme des petits pains et faire fortune. Autant vous enseigner une chose : ils n’ont pas leur place chez les « grands » éditeurs pour la simple raison qu’ils ne leur rapportent pas gros. Pour la simple raison qu’on ne peut en tirer profit que sur le plan intellectuel. Et les lecteurs intelligents, de loin minoritaires, sont tout sauf des moutons de Panurge. 

Les miens de livres sont des références en littérature comparée : cités en effet par les chercheurs universitaires tant dans des articles scientifiques reconnus que dans des thèses dans le monde entier. Des docteurs, vous entendez bien, ceux qui ont salué mes ouvrages. Pas les minus ni les minables qui suivent votre idole courant derrière ses chimères.

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Faites un effort et allez sur Google ! Vous verrez que mon travail n’a rien à envier à celui d’un auteur de fiction délirant à longueur d’années, sombrant à la stupidité et dans la cataleptie bien proverbiales, d’ailleurs promené d’un plateau de télévision à l’autre tant pour se payer sa tête que pour l’interroger sur des futilités.

Forcément les médias l’ont transformé tantôt en clown tantôt en bête de cirque.

Du solide mon travail. Contrairement aux divagations sans queue ni tête de votre maître à penser. Ni vous ni lui n’avez assez de neurones pour en créer d’aussi intelligent. Encore moins l’étoffe de ceux qui peuvent se mesurer à moi.

Vous êtes loin de pouvoir m’en imposer le moins du monde. J’écris mieux que vous deux dans la langue de vos ancêtres et celle des miens. Et c’est sans compter que j’ai enseignée la langue française, entre autres disciplines, toute ma vie.

Je suis Docteur en Littérature Générale et Comparée et mon diplôme je le dois, n’en déplaise à vous, à de sérieuses études dans la plus prestigieuse Université de France : La Sorbonne. Non donc à Villetaneuse que vous méprisez (où certes j’ai obtenu un DEA en Etudes Francophone et Comparée). Université que vous méprisez et déclassez à dessein pour ravaler mon mérite dans la fange. Hélas pour vous, vous défendez un être qui y barbote déjà. Et vous ne saurez guère le tirer de là : tant il est irrécupérable moralement comme humainement.

Vous feignez de vous soucier de mon œuvre non encore accomplie. Eh bien si : je suis très créatif. Six ouvrages dorment dans mes tiroirs, dont je m’occuperai bientôt de la publication. On se donne rendez-vous pour « mon jour de gloire » ? Allez vous n’êtes pas fréquentable !

Mon âge est un gage de maturité et d’intelligence, non un handicap comme votre ignorance vous le suggère. Mais évidemment vous faites feu de tout bois. Vous êtes prêt à dire de moi n’importe quoi, l’essentiel étant pour vous de vous en prendre à tout cela d’important que je représente, qui vous fait pâlir et vous inquiète. L’être est franchement ignoble et médiocre qui est en vous. 

Ayez sinon le culot d’être libre du moins la décence qui rendent homme à part entière, la prochaine fois que vous vous adresser à ceux de ma trempe. Vous n’êtes pour l’heure qu’un « pauvre aliéné à des êtres et des causes sordides », à la solde d’un vaniteux, voire rancuneux. 

Que Houellebecq ne réponde pas à mes « insultes » ne m’étonnerait jamais. Il se drapera de dignité et laissera faire « l’ignoble étranger envahisseur de son pays ».

Au fait qui a envahi qui ? Qui en a pris à qui ? Vous n’avez pas le droit de me reprocher d’habiter dans votre pays. Quand vous et vos pairs avaient habité le mien durant 130 longues années.

Vous n’avez pas le droit non plus de dire que votre pays m’avait payé des études. J’ai étudié tout en travaillant durement. Et d’ailleurs votre pays n’a pas fait qu’occuper mon pays : il a exploité mon peuple, pillé ses richesses, l’a paupérisé et méprisé… Le moins qu’on puisse dire.

Ça mériterait bien qu’on s’assoit autour d’une table et qu’on dise clairement qui a apporté à l’autre richesse, bien-être, développement et jusqu’à l’arrogance qui n’aurait pas lieu d’être si l’envahi s’en était pris à temps pour dire na… na… na… ! Ça à moi ! pas à toi !

A part cela je suis de tout cœur avec vous que « La tribune d’Agora vox est bonne fille et va m’accueillir dans ses jupons ». Voilà qui va me faire fondre de honte. Et vous donc que faites-vous dans les jupons de la bonne fille ? Voulez-vous dire que ce qui est permis à vous ne peut l’être à moi ? Drôle de mentalité, suspicieuse par ailleurs. Paradoxale ! Surtout pour quelqu’un qui se lance dans une discussion pour accabler de torts celui qui en a à foison envers lui.  . 

Avec vous tout est inversé, décalé, trahi. Quand je critique un auteur français, je commettrai l’indécence de « cracher dans la main qui vous a permis de faire vos études, vous a nourri tout en vous évitant de partager la vie de vos compatriotes au bled ».

Que je sache ce ne sont ni vos mains ni celles de Houellebecq (les unes et les autres mains aigries d’avoir perdu l’Algérie), qui m’auront jamais nourri. L’adage algérien dit explicitement : « Ce n’est guère dans le cul d’une guêpe ou d’un frelon qu’on mangera du miel ».

« Bête comme ses pieds ! » n’est-ce pas une expression française digne d’être appliquée à ceux et celles qui n’apprennent jamais rien de leur histoire ?

 Nous arrivons presque à la fin des claque. Vous les avez méritées d’un étranger dont vous détestez renifler l’odeur. « Vous ne faites que renifler les pas de celui à qui vous avez taillé une biographie : Mohammed Dib ». Voilà qu’on se rejoint. Je dirais oui fort possible. Sauf qu’une fois de plus ce n’est pas une biographie mais une autre thèse que celle que j’ai soutenu en Sorbonne. Une analyse de l’œuvre entière d’un auteur qui porte mon joli prénom. Une de celles que vous et Houellebecq ne pourrez jamais écrire : tant vous n’avez ni mes compétences ni mes connaissances et je n’exagère rien.

Au bled quand on éconduit des idiots ou des importuns on leur recommande « d’être plutôt à leur place qui est d’être près de leurs ses vaches et de veiller sur elles ».  Et quand quelqu’un se charge du transport des fardeaux des un autre on l’appelle mulet. Gentil animal mais très obtu : il lui arrive d’être tabassé d’être où il n’est pas censé d’être.

PS/1

Les jeunes de banlieue n’ont pas besoin de moi mais de vous qui devrez éviter d’aggraver leur sort. Voire vous défaire de votre tutelle sur eux, de l’aigreur que vous nourrissez à leur égard. D’oublier les colonies d’avant. De penser à une France sans les colonies ni l’Algérie. A moins que ce ne soit trop tard, que dans votre existence vous ne soyez bons qu’à secréter du fiel et à l’ingurgiter jusqu’à ce que mort s’ensuive. 

 Il est trop tard pour vous pas pour moi qui vis une vie apaisée tournée vers l’amitié, la fraternité, la concorde, valeurs universelles, mais pas moins françaises. On aurait vu volontiers en la France un phare pour les peuples si l’hystérie des Houellebecq et compagnie ne s’en prenait pas à ses constantes.

                                        ***

                            CI-APRES LA CRITIQUE DE MON TEXTE

                                 SIGNEE AREOLE

« N’est pas Zola ni Balzac qui veut  ! »

Mais non ! Mais non ! Courage Mohammed Zeliche…

Je sens l’amertume vous serrer la gorge. Ce n’est pas parce que vous n’avez pondu qu’un seul livre chez un obscur éditeur qu’il vous faut désespérer.

C’est vrai vous n’êtes plus de la toute première jeunesse mais rien interdit à un retraité ancien diplômé de l’université de Villetaneuse d’avoir enfin son jour de gloire littéraire… La tribune d’Agora vox est bonne fille et va vous accueillir dans ses jupons.

Je ne pense pas que Houellebercq perdra son temps répondre à vos insultes. Vous ne faites pas la maille pour qu’il puisse s’attarder sur votre cas.

Continuer donc à cracher dans la main qui vous a permis de faire vos études, vous a nourri tout en vous évitant. de partager la vie de vos compatriotes au bled.

Vous ne faites que renifler les pas de celui à qui vous avez taillé une biographie : Mohammed Dib.

Si seulement les jeunes de banlieue lisaient un chouilla davantage, vous auriez pu les inspirer.

Je crains que ce ne soit encore raté.

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